Manga, chef-lieu de la région du Centre sud accueille depuis ce 13 décembre 2021 et ce, jusqu’au 17 décembre 2021 la deuxième session du programme transversal de formation entrant dans le cadre du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC GC). Une initiative du ministère de la culture réalisée avec l’appui financier de l’Union Européenne. 75 acteurs des filières culturelles sont réunis à cet effet et entendent au sortir de cinq jours d’intenses travaux consolider les acquis de la première session tenue en novembre 2021 à Ziniaré.

 

C’est une approche qui se veut plus pratique. Pour cela, elle met l’accent sur les travaux autonomes, le coaching et les échanges dans l’optique de pouvoir déceler les insuffisances des projets, voire les reformuler. « La première session était une session d’initiation, de compréhension des différents projets ». Du coup, « la présente session doit nous permettre d’aller véritablement dans les thématiques focalisées sur l’entrepreneuriat culturel, comment se présentent les différentes chaînes de valeurs et comment s’y établir pour consolider son entreprise » a laissé entendre Mambourou SOMA, Coordonnateur du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC GC).

Mambourou SOMA, Coordonnateur du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC GC)

Trois catégories d’acteurs des filières culturelles participent à ces rencontres : les opérateurs privés culturels, les responsables des organisations faitières du secteur et les institutionnels. Il est attendu des opérateurs privés culturels des projets structurants pour pouvoir impacter les chaînes de valeurs dans les différentes filières. Quant aux responsables des organisations faitières, ils devront proposer des projets de restructuration des différentes filières pour impacter les opérateurs en attendant des reformes politiques en la matière que les institutionnels devront impulser.

Réunis en groupes, les participants échangent sur les thèmes abordés et partagent leurs expériences

Six modules axés autour des potentialités des différentes chaînes de valeurs

La rencontre de Manga entend booster les différents projets des participants, venus de neuf régions du Burkina Faso. Pour cela six modules sont inscrits pour être développés. Il s’agit dans un premier temps d’examiner « les offres de la chaîne de valeurs des industries culturelles et créatives » ; « les métiers des filières prioritaires du PAIC GC : attributions, missions et interactions ».  En outre, aborder « les modèles d’affaire et rentabilité des chaînes de valeurs des filières prioritaires du PAIC GC ». Sans oublier « les politiques publiques face aux modèles de rentabilité de l’économie créative ». Egalement discuter de « l’économie créative et amélioration du climat des affaires au Burkina Faso : les reformes et leurs limites ». Et enfin « l’élaboration de projets culturels structurants : stratégies de mise en œuvre, évaluation, budgétisation et indicateurs » mettra un terme à la session.

Des échanges participatifs

Prosper TIENDREBEOGO, Formateur

Prosper TIENDREBEOGO, est l’un des formateurs appelés au premier jour des travaux. Sa méthodologie est claire : « des exposés suivis d’échanges et de débats », parce que selon lui, « nombres des participants s’y connaissent déjà ». Il s’agira dès lors, de leur rappeler certaines choses et de petits exercices pour amener les gens à mieux ancrer les connaissances pour s’en servir plus tard ».

Cette session qui s’achève le 17 décembre 2021 est la deuxième sur une prévision de quatre.

Agence DEFICOM/Mariam OUEDRAOGO, Chargée de communication

Fin de la deuxième session de formation transversale du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC GC), ce 17 décembre 2021 à Manga. Après cinq jours de travaux en groupes, de partages d’expériences et d’exposés sur les différents maillons des chaînes de valeurs de la culture, les participants repartent satisfaits. Cela, en raison de la plus-value que ladite formation leur a apportée. La rencontre a réuni à la fois des opérateurs privés culturels, des responsables d’association ou faîtière de la culture et des cadres de l’administration publique du secteur.

 

La session de Manga est riche en enseignements, de l’avis des participants. Les modules abordés répondent bien aux questions qu’on se posait à notre arrivée. C’est ce que partage Awa Nombré/Yaméogo, artiste plasticienne travaillant à Ouagadougou. « Moi j’avais un projet depuis un certain nombre d’années, des idées et tout. Et cette formation m’a apporté beaucoup plus d’éléments pour mieux articuler mon projet. J’ai beaucoup appris sur la politique culturelle du ministère et de certains bailleurs qu’on approche par rapport aux dossiers » a-t-elle confié. Mieux, poursuit–elle, « ça m’a permis de comprendre pourquoi certains de mes projets ne sont pas passés. Parce qu’on allait à l’aveuglette pour prendre part aux appels à projets. On est plus éclairée à présent. »

Awa NOMBRE/YAMEOGO, artiste plasticienne à Ouagadougou se sent à présent éclairée, et apte à faire appuyer ses projets par les structures de financement

Des enseignements pour restructurer leurs activités

Tout comme Awa Nombré ; Hahadou Dianou, président de l’Association Culturelle Terre et Perditions du Gulmu (ACTP) retient des belles expériences et nourrit désormais de grandes ambitions. Pour lui, « Je repars content de pouvoir restructurer ma faîtière, mon association en utilisant maintenant toutes les politiques culturelles en vigueur de notre pays et aussi voir au niveau international ». Il bénéficie déjà de l’appui financier du Programme d’Appui aux Initiatives Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC GC) dans l’exécution de son projet orienté vers l’accompagnement des femmes déplacées internes dans la confection du pagne Faso danfani. Ce dernier suggère néanmoins la capitalisation de la plupart des travaux pour les transmettre aux parties décentralisées, tout en constituant une base de données importante.

Hahadou DIANOU participe pour la première fois à une formation d’une telle envergure

Cette formation a eu une approche participative suivie d’une phase introductive au second coaching. « Il s’est agi de présenter le canevas de travail autonome. Nous avons constaté que dans la formulation des projets, beaucoup ont des difficultés à décrire leurs produits, services culturels. Et quand on s’adresse à des opérateurs culturels, les produits et les services doivent être décrits de façon marchande de sorte à ce qu’on voit leur valeur marchande. C’est là que nous leur avons montré comment il faut décrire. Et pour un entrepreneur culturel qui veut explorer un secteur d’activité, il faut qu’il connaisse son secteur d’activité, connaisse son marché et arrive à cibler un marché donné, à connaitre où se trouvent ses consommateurs potentiels et connaitre également ses concurrents » a brièvement présenté Toussaint Bassané, expert en entrepreneuriat et coach au cours de cette deuxième session de formation transversale.

Les participants suivant les derniers modules dispensés avant la fin de la session de formation

Et les techniques d’évaluation des projets maintenant connues

Certains projets bien que innovants n’arrivent souvent pas à être sélectionnés dans le cadre de certains appels à projet. La raison est souvent liée à la non maitrise du canevas de travail autonome. Pour y remédier donc « nous avons fini par aborder la question de l’évaluation technique du projet. Quand vous voulez mettre en œuvre un projet on reconnait s’il est réaliste ou réalisable sur la base de sa faisabilité technique et financière. Nous avons abordé la question de la faisabilité technique en amenant les entrepreneurs à voir pour le projet quels sont les équipements nécessaires à la mise en œuvre du projet, quel est le personnel nécessaire pour gérer le projet » soutient le coach en entrepreneuriat Toussaint Bassané.

Toussaint BASSANE promet des séances de coachings à chaque session de formation

Acteurs des arts de la scène ; du livre et de la presse ; des arts plastiques et appliqués ; du cinéma et audiovisuel et du tourisme culturel ont participé à ce rendez-vous du donner et du recevoir. Le tout, dans une ambiance conviviale.

Agence DEFICOM/Mariam OUEDRAOGO, Chargée de communication

Le Ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme (MCAT) en partenariat avec le programme d’appui aux industries créatives et à la gouvernance de la culture (PAIC-GC) a organisé ce jeudi 2 décembre 2021 un atelier de validation de la nomenclature des activités et des produits touristiques burkinabè entrant dans le cadre de l’élaboration du compte satellite du tourisme burkinabè.

La secrétaire générale du ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme (MCAT), Alizèta Dabiré a expliqué que leur département a décidé de mettre en place un compte satellite du tourisme burkinabè afin de mieux cerner la contribution du tourisme dans l’économie du pays. « Il s’agit d’un outil statistique recommandé par l’Organisation mondiale du Tourisme pour mesurer les effets économiques directs du tourisme au sein d’une économie », a-t-elle précisé.

Selon ses explications, la nomenclature des activités et des produits est une structure de classification cohérente et homogène de l’activité économique s’appuyant sur un ensemble concerté sur le plan international de concepts, définitions, principes et règles de classification.

Alizèta Dabiré a, par ailleurs, soutenu que la nomenclature représente un cadre intégré dans lequel les données économiques peuvent être collectées, traitées et diffusées sous une forme adaptée aux besoins de l’analyse et du pilotage économique. « La nomenclature permet d’organiser les données statistiques depuis les informations détaillées jusqu’aux agrégats économiques », a-t-elle signifié.

En outre, elle a spécifié que la nomenclature est élaborée pour faciliter l’organisation de l’information économique et sociale en lien avec le tourisme. Et par ricochet dit-elle, permettra aussi de quantifier l’ampleur et le champ d’application du tourisme.

Bassirou Balboné, directeur de l’Observatoire national du tourisme a laissé entendre que c’est un outil qui permettra de mieux appréhender le secteur touristique et d’amorcer également la mise en place du  compte satellite.

« C’est un outil qui va permettre aux chercheurs, aux différentes administrations de mieux connaitre le tourisme et de mieux appréhender le phénomène touristique qui ne se limite pas seulement aux sites touristiques, ne se limite pas seulement à l’activité hôtelière, qui ne se limite pas seulement aux agences de voyage, mais l’activité touristique part au-delà de ce qu’on pense », a-t-il assuré.

Il a précisé  que la nomenclature  est un outil d’éclaircissement et donnera plus d’informations sur ce qui est le tourisme et ce qui ne l’est pas. Car dit-il en nomenclature, il y a les produits spécifiques et les produits non spécifiques. « Les produits spécifiques sont les produits qui sont internationalement connus comme activité touristique et les produits non spécifiques sont touristiques en fonction des pays », a-t-il conclu.

Aminata Catherine SANOU (Stagiaire)

Burkina 24 

Le 8 novembre 2021, avait débuté dans la région du plateau-central précisément dans la ville de Ziniaré, une session de formation initiée par le ministère en charge de la culture. Cette formation entre en droite ligne avec le programme transversal de formation du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC-GC) qui a connu son apothéose, ce vendredi 12 novembre 2021, dans ladite ville.

Dans le cadre du programme transversal de formation, du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC-GC), le ministère en charge de la culture a entrepris de former les acteurs concernés durant plusieurs étapes. La première session de ces formations, débutée depuis le 8 novembre 2021, a refermé ses portes, ce vendredi 12 novembre 2021, à Ziniaré.

Ont pris par à cette session, 75 participants, dont 45 issus du secteur privé et 30 acteurs de l’administration publique. Pour cette première session, ces acteurs ont été outillés sur plusieurs modules, notamment le module qui consistait à prendre en main les différents projets proposés, le module sur les politiques culturelles, celui sur le tourisme culturel dans la région des hauts-bassins, le module sur les économies créatives et enfin le module sur la gestion des projets.

« Cette formation a eu comme originalité d’envisager une démarche d’incubation, une approche avec les opérateurs culturels et autres acteurs, comme voulu par le projet. Ça été une formation transversale qui consistait à faire converger dans le même processus d’apprentissage, des acteurs de l’économie, des industries culturelles et créatives. Elle a été très pratique où chaque module devrait contribuer à la consolidation du projet », a expliqué Noël Sanou, chargé de la conception des modules enseignés.

Ce projet de formation a été confié à la direction des études et de la statistique sectorielle du ministère. Selon le directeur général, Mambourou Soma, coordinateur du projet, cette formation de 5 jours, avait pour objet de renforcer les capacités des acteurs, dans la mise en œuvre du projet mais aussi susciter une meilleure prise en charge des enjeux de développement des industries culturelles et créatives. « Le but pour nous, c’est de créer une communauté d’acteurs qui ont les mêmes compréhensions des industries culturelles et créatives », a-t-il souligné.

Objectif « presque atteint », a écouter Mamadou Traoré, un des participants à cette formation, car pour lui cette session a été d’une grande utilité. « En tant qu’acteurs culturels, cette formation nous a été d’une grande utilité. Il est d’ailleurs important pour une structure comme la nôtre de savoir ce que c’est qu’une industrie créative et industrie, connaître ces lois, savoir aussi comment élaborer un budget et comment le mûrir. Je pense que la formation, nous va droit au cœur », a-t-il laissé entendre.

Objectif « presque atteint », à écouter Mamadou Traoré, un des participants à la session

Cette session ainsi bouclée, annonce le début d’un processus car d’autres sessions sont en perspective, à en croire les organisateurs. A cet  effet, des recommandations ont été recueillies par ceux-ci, afin d’améliorer les séances à venir. « A l’issue de l’analyse de ces propositions, nous allons programmer les autres sessions restantes », a conclu le coordinateur du projet.

Abdoul Gani BARRY

Burkina 24

Les acteurs culturels passent en revue, ce vendredi 4 décembre 2020 à Ouagadougou, le programme d’appui aux industries créatives et à la gouvernance de la culture (PAICGC). Il s’agira précisément pour eux d’examiner et d’adopter le plan de travail et le budget 2020-2021 ainsi que le plan de passation des marchés dudit programme.

Accroître la création d’emplois dans les filières prioritaires du cinéma et de l’audiovisuel, des arts de la scène et des arts plastiques et également contribuer au renforcement de la gouvernance culturelle du ministère en charge de la question. Ce sont là quelques objectifs clés du programme d’appui aux industries créatives et à la gouvernance de la culture (PAICGC), programme pour lequel les acteurs culturels sont réunis ce 4 décembre.

Les acteurs cukturels examinent le programme d’appui aux industries créatives et à la gouvernenance de la culture

Le PAICGC est, selon le secrétaire général du ministère en charge de la Culture, Lassina Simporé, un programme financé à près de 11 milliards de FCFA avec la contribution maximale de l’Union européenne de plus de 6 milliards et repartis sur trois composantes. « Il s’agit de la composante « ministère de la culture, des arts et du tourisme », de la composante du « fonds de développement culturel et artistique » et enfin de celle de « des Hauts –Bassins » », a-t-il fait savoir.

Lassina Simporé Sécretaire général du ministère en charge de la culture

Pour le coordonnateur du programme d’appui aux industries créatives et à la gouvernance de la culture, Salfo Ouédraogo, ce programme est destiné aux acteurs culturels non étatiques du secteur de la culture. Il s’agit notamment des associations et les entreprises culturelles dont les premiers contrats avec les acteurs ont été signés en juin 2020 mais qui a démarré le 1er août 2020.

Dans la procédure, explique-t-il, sa mise en œuvre se fera par des appels à candidature et ce sont les meilleurs projets innovants qui seront retenus avec une subvention de 39 millions de FCFA. Il précise que les premiers appels d’offre sont déjà lancés depuis le 1er octobre et prendront fin le 30 décembre 2020.
Pilar Palmero, Cheffe de coopération UE

Pour les représentants du contributeur dans ce programme, la cheffe de coopération de l’Union européenne, Pilar Palmero, cette contribution intervient dans le cadre du partenariat entre le Burkina Faso et l’UE. Ce qui permet, dit-elle, à son institution de soutenir ce secteur considéré comme primordial par l’UE. Cette première session est l’occasion de faire le point de ce qui est déjà fait. « C’est-à-dire, examiner les projets et les résultats en vue et également voir où est ce qu’ils sont et comment les structures s’y prennent-elles », a-t-elle expliqué.

Yvette Zongo
Lefaso.net

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